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PROCES VERBAL DEUXIEME ASSEMBLEE GENERALE CONSTITUTIVE RECTIFICATIVE 128.17 KB 106 downloads
L’an 2019, et le 15 du mois de Juin, s’est...Le Mouvement Populaire pour le Dialogue et la Réconciliation(MPDR) est né conformément à la loi de la République du Cameroun n°90/056 du 19 Décembre 1990 relative aux partis politiques.
Nous sommes un nouveau parti politique récemment porté sur ses fonds baptismaux. Nous sommes le creuset d’un destin exceptionnel constitué de toutes les espérances, de toutes les tolérances, de toutes les solidarités, de toutes les sensibilités, de toutes les compassions ainsi que de toutes les conciliations.
Réconciliation
Notre position est claire : nous devons, individuellement et collectivement, saluer la démarche du chef de l’Etat, et aller au dialogue sans aucune réserve. C’est autour de la table du dialogue, que chacun, livrera, pour l’histoire et pour la postérité, ses sentiments effectifs, fera connaître ses observations, indiquera ses conditionnalités et contribuera pour l’avancement de notre pays.
Construction
Nous sommes le creuset d’un destin exceptionnel constitué de toutes les espérances, de toutes les tolérances, de toutes les solidarités, de toutes les sensibilités, de toutes les compassions ainsi que de toutes les conciliations.C’est autour de la table du dialogue, que chacun, livrera, pour l’histoire et pour la postérité, ses sentiments effectifs, fera connaître ses observations, indiquera ses conditionnalités et contribuera pour l’avancement du Cameroun.
Dialogue
Il n’y a pas, et il ne saurait exister un autre Cameroun à construire ailleurs. Il y a un seul Cameroun dont les filles et les fils, doivent s’asseoir pour s’entendre, et décider de sa forme et de son destin. Chaque fois dans l’histoire, que des gens valables, engagés, honnêtes, et fidèles aux intérêts nationaux ont refusé le dialogue et se sont tenus à la marge, des personnes inappropriées, mal outillées ou mal intentionnées, ont profité de l’occasion pour ruiner les aspirations des peuples à un destin meilleur. Aussi, nous ne devons plus commettre la triste erreur de la tripartite en 1991. Nous n’avons pas le droit de fauter. Notre place, la place de tous ceux qui aiment leur pays, est dans ce dialogue salvateur./.